A PROPOS DE RISD

 
RESEARCH INITIATIVES FOR SOCIAL DEVELOPMENT CONTEXT:

Beaucoup de communautés contemporaines en général, dont la République démocratique du Congo-RDC en particulier, vivent dans une situation déplorable du point de vue socio-économique. L’instabilité politique en RDC depuis plus de trois décennies a un impact négatif sur les conditions de vie des populations. Les conflits armés répétés depuis les années 90 sont venus élever l’impact négatif de la crise en ce qui concerne la sécurité, la politique et le développement socio-économique des populations ainsi que la gouvernance des États. La mauvaise gouvernance des ressources naturelles a certainement contribué à la destruction des réseaux sociaux et a pollué la relation entre les personnes et leur environnement.

Les acteurs impliqués dans la recherche de thérapies pour inhiber les bases du sous-développement, dont la haine, les traumatismes, la pauvreté, la mort due au manque de soins, la discrimination, la xénophobie, la famine, le manque d’eau, d’électricité, etc, n’ont pas exploité la recherche scientifique pour y arriver pourtant cette dernière demeure le moyen le plus sur.

À ce stade, la justification d’une telle organisation n’a pas besoin d’être démontrée; Trois raisons essentielles motivent le lancement de Research Initiatives for Social Development-RISD:

  • Une forte demande de chercheurs locaux pour la mise en œuvre de projets de recherche et d’évaluations, qui n’a pas toujours été satisfaite.

Dans de nombreux pays, y compris la RDC, il existe effectivement un grand nombre de projets de recherche financés. Ces fonds proviennent soit de donateurs désireux de connaître l’impact de leurs interventions ou d’universités motivées par des questions scientifiques sur la situation socio-économique des communautés. On a observé une forte demande de chercheurs et / ou de ressources humaines qualifiées au niveau local qui était toujours insatisfait. Les organisations et les individus capables de combler cette lacune sont rares au niveau local et c’est pourquoi RISD (Research Initiatives for Social Development) vient combler cette lacune pour faciliter les tâches aux organisations et aux institutions qui étaient souvent obligées de compter sur les ressources de l’étranger en formant des équipes locales pour les amener à des normes acceptables.

  • Personnel et équipes ayant une formation et une expérience uniques en recherche-Évaluation: Collecte de données.

Le personnel de RISD a acquis des formations fréquentes (méthodologie de recherche, utilisation d’équipements de collecte de données numériques tels que tablettes, PDA, GPS, photographies, logiciels de traitement de données (SPSS, ODK, Magpi, CTO Survey, Kobo Toolkit)). La collecte de données (qualitative et quantitative dans les ménages, les individus, les dirigeants locaux, les groupes de discussion et les assemblées communautaires, etc.) dans des conditions extrêmement difficiles et dans des zones déchirées par la guerre connues comme inaccessibles en raison de la sécurité ou de l’absence de routes.

  • Utiliser la recherche scientifique pour comprendre et résoudre les problèmes sociaux à différents niveaux.

Bien que la recherche scientifique reste le meilleur moyen d’identifier les problèmes, les différents acteurs, y compris les gouvernements et les organisations impliquées dans la recherche de solutions aux défis socio-économiques, n’ont pas exploité la recherche scientifique pour comprendre les besoins de leurs populations et ce qui a été réalisé, ou ce qui doit encore être fait. La recherche scientifique n’a pas été exploitée pour dans recherche des thérapies concernant les aspects du sous-développement tels que la haine, le traumatisme, la pauvreté, la mort, la discrimination, la faim, le manque d’infrastructures sociales, l’abus des biens publics, les conflits, etc.

OBJECTIFS

 
RISD vise à contribuer à la consolidation de la paix, au relèvement des conditions socio-économiques des populations et au développement par la recherche et les évaluations. Plus précisément, RISD vise à:
– Identifier les problèmes dans les sociétés contemporaines;
– Collecter des données qualitatives et quantitatives pour améliorer la gouvernance des ressources naturelles;
– Évaluer les projets de développement mis en œuvre par le gouvernement et les organisations non gouvernementales, intergouvernementales et internationales.
– Faire le suivi des projets de développement pour ceux qui ont besoin de ce service;
– Donner des conseils pour le développement et la mise en œuvre d’autres projets;
– Effectuer des sondages sur les questions jugées nécessaires pour enquêter sur les objectifs de recherche;
– Formation et élévation des niveaux de recherche;
– Effectuer des études prospectives;
– faire appel à des ressources humaines qualifiées et formées à d’autres organisations et institutions ayant besoin des services de RISD;
– Plaider pour le sauvetage des populations identifiées comme étant à risque pour d’autres acteurs du développement et / ou donateurs pour les actions;
– Elaborer et publier des rapports de recherche et des articles de travail, des documents à des fins scientifiques;
– Ouvrir une bibliothèque à des fins de recherche et soutenir d’autres institutions et permettre l’accès à la documentation nécessaire aux chercheurs;
– Participer à des formations organisées par des partenaires, des bailleurs de fonds ayant les mêmes objectifs;
– Collaborer avec d’autres acteurs de la recherche suivant les mêmes objectifs ou différents mais intéressants pour RISD.
– Exécuter des projets de développement pour nourrir son orientation sociale.

[1]These trainings are often conducted  by worldly known scholars and researchers from New York University (Professor Peter Vander Windt), from Havard University (PhD Raul Sanchez de la Sierra and Patrick Vinck), from London School of Economics and Political Science (Doctorate Gauthier Marchais), from Université Officielle de Bukavu  (Doctorate  MAKUTA Pacifique), Harvard Humanitarian Initiative (Professor Patrick Vinck), Wagenigen University (John Quattrochi), Social Impact (Jocellyn Kelly), GK Consulting (Dr. Gregory Deacon), Eastern Congo Initiatives (Harper andVéroniqueLapraz) and Ecorys_Nederland (Alessandro Ramela).